jeudi 26 février 2009

Reconversion de crise

Etranglé par la crise de l’immobilier, un promoteur catalan  s’est reconverti en braqueur solitaire. Il a choisi de se refaire en attaquant des banques pour pouvoir payer ses employés. L’entrepreneur s’est initié au hold-up en regardant une émission de télévision sur El Solitario, qui fut jadis le délinquant le plus recherché d’Espagne. Sparadrap sur les doigts, il ne s’attaquait qu’à des succursales isolées, en comptant se renflouer par des hold-up sporadiques.

mardi 24 février 2009

Le jeu de la semaine: le programme du P.S.... Sarkozy en est bien content, ça date.

on a retrouvé le programme du P.S. dans un recoin inexploré de la grotte de Lascaux. Juste à côté d'un groupe de mammouth agés.










D'autres jeux:
aide Brice Hortefeux à retourner dans son pays, la France des années 40 sous pétain.
la gonflette à François, l'EPO du plan de relance.


De vrai solutions pour faire face au défi des crises financières, éconmiques, de civilisation et écologique que nous traversons:
contre-propositions aux manques de propositions de sarkozy et aux propositions obsolètes de l'opposition



dimanche 22 février 2009

démission du ministre des Finances au Japon, les sushis de la crise lui ont donné soif.

M. Nakagawa, ministre des finances du Japon s'était présenté apparemment dans un état second du à son goût immodéré pour la boisson lors d'une conférence de presse, à l'issue de la réunion des ministres des Finances et banquiers centraux du G7, samedi à Rome. Il aurait répondu pour se justifier: "avec ce que je viens d'apprendre c'était ça ou le hara-kiri."




Dessin de Chappatte paru dans Le Temps(Genève)


jeudi 19 février 2009

le jeux de la semaine... aide Brice Hortefeux à retourner dans son pays

Très heureux, Brice Hortefeux qui a dépassé ses objectifs fixés par l'élysée, 30000 sans-papiers expulsés en 2008, souhaitent prendre des vacances dans son pays d'origine, la France des années 40 sous Pétain.

Aide le à y retourner le plus vite possible.






mardi 17 février 2009

Sarkozy n'a pas l'air d'aimer Obama, on se demande bien pourquoi?

J'en connais à qui les actes de Barack Obama  donne une éruption de bubons purulents doublés d'une sensation de picotement dans le fondement... de leurs certitudes.

En effet, au gouvernement comme dans l'opposition en France, mais aussi dans la plupart des pays européens, on s'attache à vouloir lutter contre la « crise » avec de vieilles recettes toutes moisies. A gauche, on nous repasse le plat de plus de déficit, d'emplois aidés, de relance de la consommation avec des produit bien de chez nous pour soutenir la croissance intérieur ou tout au moins éviter qu'elle ne sombre dans les gouffres insondables de leur incapacité à ouvrir les yeux. A droite on fait pareil mais on dit le contraire.

Faire face à cette crise financière, qui n'est que le sommet visible de l'iceberg, n'est évidemment pas une mince affaire. Il n'y a pas de recette miracle et même en agissant au mieux, la victoire ne sera pas forcément au bout du chemin.

Depuis plusieurs décennies, de nombreuses personnalités de tous horizons, des scientifiques, des philosophes, des techniciens, des politiciens avisés (ça existe), des citoyens éveillés et même quelques économistes, c'est pour dire, tirent la sonnette d'alarme. Ils nous disent en substance: «-Nous ne pouvons pas indéfiniment puisés dans les ressources limités à notre disposition sur la terre .» « Nous ne pouvons pas brûler les matières fossiles, couper des forêts entières, se servir des fleuves, des mers et des océans comme d'une poubelle sans en avoir un jour ou l'autre à en payer le prix. » « -Et plus tard interviendront les prises de conscience et les mise en action de tous les moyens, toutes les techniques, toute la recherche pour inverser la tendance, plus grave seront les conséquences pour chacun d'entre nous, mais aussi et surtout pour nos enfants. »

Aujourd'hui vous qui lisez cet article, avec un nombre croissant de personnes à travers le monde vous avez plus ou moins conscience de la gravité de la situation. Ici en France, nous sommes nombreux à réclamer, agir ou simplement attendre une véritable « rupture ». Pas un retour en arrière, pas une énième fois les mêmes solutions qui au mieux ont échouées, au pire ont renforcé les pouvoirs de la caste politico-financière, avec les résultats que l'on sait. Non rien de tout ça, mais enfin une véritable évolution. Un évolution, pas une révolution! Eh bien ce changement il semblerait que Barack Obama le mette en route aux USA.

Ce n'est un secret pour personne, même si il ne faut pas le dire, en France la collusion entre le pouvoir politique, financier, industriel, économique et médiatique se pratique au plus haut sommet de l'état. C'était encore le cas encore ce dix-neuf janvier aux états-unis. (Ah ce Dick Cheney, insupportable ordure, qui a voulu nous apitoyer dans son fauteuil roulant alors que des centaines de milliers de personnes à travers le monde sont mortes ou mutilées ou ont tout perdu même la dignité rien que pour assouvir sa soif de pouvoir et de richesses.)  Voilà que dans ce pays qui fût un exemple pour Sarkozy et ses ministres dans ce qu'il a de  plus sombres, le nouveau président opère un virage à cent-quatre-vingt degré. Il annonce que le plan pour sortir de la crise se ferait en passant par l'écologie, énergie renouvelable, voiture verte. Que cela passera par le social, avec une couverture pour tous les américains. Que rien ne se fera sans un divorce sec d'avec les milieux financiers et le fameux complexe militaro-industriel que dénonçait Eisenhower  dans son discours de fin de mandat du 17 janvier 1961 et auquel il aurait pu rajouter le milieu pétrolier. Du côté de chez les Bush on a du déjà commencer à manger les bords du stetson.

Les mesures déjà prise par Obama sont porteuses d'espoirs. Elles sont, il faut le souligner, l'exact inverse de ce que l'on nous propose ici. Elles paraissent être la meilleure des voies actuelles face à la crise économique sans précédent que nous traversons mais qui ne doit pas nous cacher la crise écologique qui sera à court terme, n'en doutons pas, autrement plus dure et dévastatrice.